Cinématographie
Ce film expérimental est en réalité un « photo-roman », une succession de photos en noir et blanc (à l’exception d’un unique plan filmé), commentée par un narrateur unique, et accompagnée d’une bande sonore créée par Martin Loyato. Un contenu poétique fort qui décrit Beyrouth comme une femme. Il raconte mon expérience en quittant Beyrouth pour Paris après la révolution de 2019, et comment j'ai ressenti l'explosion du 4 août 2020. Beyrouth est une femme morte. En hommage à Chris Marker, ce film a été réalisé en photos fixes, avec des objectifs vintage.